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Le blog de:  azizsalaheddine@hotmail.com

MAROC et mazagan2/2

26 Mai 2009 , Rédigé par saladin Publié dans #Documents sur mazagan

NOUVELLES ET MÉLANGES. 567
le lendfmpin y» p^»*- n'y point laisser trace des infidèles;
mais le sultan El-Halih billah lui écrivit de n'en rien faire.
Les chrétiens qni s'étaient déjà embarques sur leurs navires,
bien décidés à abandonner la ville, y rentrèrent aussitôt.»
En attendant les indications que pourront fournir de nou-
velles sources indigènes, on pourrait admettre que le siège
ait été entrepris soui la poussée d'un mouvement marabou-
traita, analogue à celui qui amena l'occupation temporaire
d'Aiemmour vers i548', et que le sultan, peu disposé à
attaquer les Portugais, ait poni tant laissé faire et livré, pour
ainsi dire, son fils comme otage. Puis il aurait profité du
dégoût que la longueur d'un siège jette toujours dans les
foules africaines, et peut-être d'événements locaux ignorés,
pour rappeler ses troupes régulières et rompre le siège.
De même, la prise du Peñón de Velex est due, selon le
Nozhct el-Hadi, à la connivence du chérif, dont El-Oufrani
croit réunir les preuves'. L'Espagne considéra au contraire
le succès de la flotte de Doria comme une grande victoire,
qu'elle célébra a travers l'Europe, non sans quelque faste.
La dernière parnVdu volume de M. de Castries contient des
documents fori importants qui font assister à l'entrée en
scène de la France. La prise du Peñón et la répression du
soulèvement des Moresques avaient réveillé l'ardeur des
Khouan contre les cbrétiens et préparé un chaleureux accueil
aux Turcs. Le prétendant Abd el-Malek sut profiter de la
situation et prit possession du trône marocain en qualité
d'allié de la Porte ottomane. Un instant donc, le Maroc est
entre les mains du sultan, par l'intermédiaire du pacha
d'Alger,. Ramdan, qui, par un naturel retour, prépare un
rapprochement entre le roi de France et le chérif. Les relations
de cordialité un peu banale que l'envoyé marocain, Moussa
ben 'Abd en-Nebi, entretient à Constantinople avecl'ambas-
1 Voir plus haut, p. 564.
» Sources ¡nA*.. p. 196, n. 5; No:het el-Hadi. trad. Hoüdas,
p. 89; kitab el-lsùqea, m, p. m; G>fr, loe. cit.-, p. i3f>.
568 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1905.
sädeur fronçais, Gilles de Noailles [S. I. ,p. 35g et suiv. ), ont
pour conséquences la formation d'entreprises commerciales
françaises au Maroc et la nomination d'un consul du roi de
France à Marrakech et à Fez, Guillaume Bérard (1577) \
Ces courtes indications suffisent à montrer l'intérêt du
recueil de M. de Castries; les textes et les traductions sont
sérieusement établis; les notes témoignent de patientes
recherches. Mais il est convenable de terminer un compte
rendu par des critiques, et je n'y manquerai point. L'auteur
a conservé, pour les noms les plus connus de la terminologie
marocaine, les formes couramment adoptées : il écrit Fez,
Tétouan, Larache, et avec raison; mais pour les autres noms
propres, était-il vraiment nécessaire d'adopter un système de
transcription aussi flottant que celui qui est exposé à la
page xiii? M. de Castries croit-il que le «grand public» lui
^ saura gré de dire EIGhalib bi Allah et non point Elhalib bil-
lah, ou d'écrire p. xiv, El-Moutaouukkil, et dans le tableau de
la page 1, El-Motawwakil? — Les indications bibliographiques
sont un peu sommaires; il est bon d'indiquer, au moins une
fois, pour les ignorants (et nous sommes quelques-uns), le
titre de l'ouvrage cité, son lieu de publication et sa date.
Gaudefrot-Demom btn es.
LES RUINES D'ANI.
Les archéologues et les voyageurs sauront gré à notre con-
frère, M. J. Karápet Basmadjian, d'avoir publié, avec un
texte explicatif en français et en arménien, une série de
trente-six vues de ces ruines célèbres [Souvenir d'Ani, Paris,
chez l'auteur, 112, boulevard Rochechouart, 1 go5, in-18.
Prix : 1 francs). Capitale des Bagralides arméniens de 961
1 Voir Sources vud.. p. 3o3, un contrat d'association signé à
Rome le t*r octobre 1070, et p. 367 : les • Provisions de l'office
du consul de France au Maroc», datées du 10 juin 1577.
NOUVELLES ET MÉLANGES. 569
à îoM, puis occupée successivement par les Grecs, les Per-
sans, les Géorgiens et les Tatars, ruinée en 1387 par Ta-
mcrlan, Ani ne s'est jamais relevée de ce desastre ; mais ses
ruines font l'admiration de ceux qui ont la bonne fortune de
les visiter. Nous citerons, parmi les plus remarquables, celles
de la cathédrale, fondée en 980 par le roi Sembat et achevée
en 1001, sous la reine Catranide, par l'architecte arménien
Tiridate, qui fut chargé de reconstruire le dòme de Sainte-
Sophie de Constantinople et dont on voit une autre œuvre,
également intéressante, à Ani : l'église Saint-Grégoire de la
famille Apoughamian; le palais des Bagratides; la citadelle;
l'observatoire; le tribunal et l'église Saint-Grégoire-l'illumi-
nateur ( 1115 ) ; l'église du Saint-Sauveur, qui date du xi* siècle
et attire l'attention par sa coupole byzantine. Nous devons une
mention spéciale aux ruines du rocher de Qyz-qaleh et à celle.1»
de l'Acropole où, d'après un fragment d'inscription grecque
découvert p»r M. Basmadjian, se trouvait la résidence des
curopalates envoyés en Arménie par les empereurs de By-
zance.
Lucien Bou vat.
UN JOURNAL ARABE À BUENOS-AYRBS.
Nous recevons le premier numéro d*« Azzaman » La Epoca,
organo sirio : politico, moralista, noticiero y comercial1, le
premier journal arabe qui ait paru dans la République Ar-
' gentine. On sait l'extension prise, dans ces dernières années,
pnr l'émigration syrienne en Amérique (Etats-Unis, Brésil,
Argentine ), où plusieurs journaux arabes ont été fondés par
les immigrés, tels que L'Etoile américaine ti^~«l *ï»^5', fondée
aux États-Unis dès 1891; H-Brazil J^î^-M (1896), ArRakîb
iJt (1897) et Al-Manazer ^JoLUI (1898), au Brésil. Le pro
1 Administration : 86t, Reconquista. Prix de l'abonnement an-
nuel : 8 m/n pesos pour la République Argentine, a a francs pour
l'étranger.
570 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1905.
gramme da journal de Buenos-Ayres pourra, nous dit In
déclaration en espagnol et en arabe qui en occupe la pre-
mière page, se résumer dans le titre. Un organe arabe était
devenu nécessaire à l'importante colonie syrienne de la Ré-
publique Argentine; Azzaman prendra la défense de ses in-
térêts et la fera penser, dans cette terre hospitalière et géné-
reuse, mais étrangère, à la patrie absente. Paraissant tous
les samedis, Azzaman donnera, avec les informations poli
tiques et commerciales, des articles de littérature et de mo-
rale, les nouvelles intéressant la Syrie et la République Ar-
gentine , et enfin des articles consacrés à des sujets d'actualité.
Nous souhaitons pleine réussite à ceux qui ont pris l'initiative
de ce nouvel organe syrien d'Amérique : MM. Miguel Samra,
fondateur; Nallib Samra, directeur ; et Chemil Abdul Ma
lek, rédacteur en chef d'Azzaman.
Lucien Bodvat.
Friedrich Vodbl. — Dm kossosastîschbs Variastbs is des
DOPPELT ÜBERLIEFERTES POETISCHES StÖCEES DES M.iSORR-
TiscuES Textes. Leijuig, Druguliii, 1900.
En comparant les textes .poétiques qui se retrouvent en
deux endroits différents du texte bibliqu^JWeur a cherché
à Taire ressortir les causes qui produisent des variantes. Ces
textes sont : 11 Samuel, xxn — Psaumes xvm; II Kois, xix,
ai-3/»=>haïe, xxxvii, 22-35; Isaïe, 11, 2-4-Michée, îv,
1-3; Psaume xiv = lui; Psaume xl, i4-i8 — lxx, 2-6.
Tantôt c'est l'orthographe qui est changée, tantôt ce sont
les mots eux-mêmes qui sont modifiés pour des raisons de
style ou de dogmatisme. Mkis, le plus souvent, les variantes
proviennent d'erreurs de Copistes > qui ont confondu les
lettres, les terminaisons et les mots semblables, qui mettent
un temps ou une conjugaison pour d'autres, qui interver-
tissent les mots, etc. Le travail de M. Vodel ne donne pas
de résultats bien nouveaux, mais il a le mérite de réunir des
données ¿parses dans les commentaires des différents pas-
NOUVELLES ET MÉLANGES. 571
sages. Il convient de signaler que, selon l'auteur, les fautes
provenant de la confusion de lettres semblables s'expliquent
mieux dans l'alphabet carré que dans l'alphabet phénicien.
Il faut donc croire que le premier a été usile de très l>onne
heure pour la Bible.
Les éclaircissements que M. Vodel donne sur les variantes
sont, en général, très judicieux. Nous critiquerons seulement
les points suivants : Page io, M. Vodel croit que les graphies
détective* de II Samuel, xxn pourraient être attribuées à une
tendance archaïsante. Mai« il est peu vraisemblable que des
copistes se soient amusés à imiter l'antique parcimonie des
maires lectionù. Ils avaient d'autres soucis que l'archaïsme.
— Page iA, l'auteur admet, avec Klostermann,que "HDTO
est préférable à miülD, parce que- le verbe tttT est du
masculin ; mais la terminaison 6t ne prouve pas du tout que
le substantif flVlDlD soit du féminin. Dans ce même passage,
M. Vodel aime mieux la leçon 0'D& que celle de Dnn, parce
que la locution ■ fondements du ciel » est plus rare que celle
de • fondements des montagnes ». Cet argument paradoxal
n'est pas satisfaisant. En effet, le ciel, dans la cosmographie
biblique, repose sur la terre ; il n'a donc pas de fondations.
Au contraire, les montagnes ont leurs assises dans la terre.
Si un copiste a substitué le mot «ciel» au mot «monta-
gnes •, c'est qu'il y a été entraîné par l'opposition constante
entre le ciel et la terre. Ce n'en est pas moins une erreur, et
il faut adopter la leçon « fondements de montagnes«.
M. L.
.4 History of tus Ottoman Postry, by the late E. J. W. Gibi»,
M. R. A. S. Vol. II, III, IV. London, Luzac and C°, 190a-
Ï905, in-8*.
Le travailleur infatigable que fut M. Gibb ne devait voir
paraître que le premier volume du grand ouvrage qu'il avait
consacré à la réhabilitation de la poésie ottomane. Les lec-
teurs du Journal asiatique se souviennent que lors de lappa-
572
NOVEMBRE-DECEMBRE 1905.
ritiondece volume,il y a cinq ans, M. Barbier de Meynard,
tout en faisant bien des réserves sur la cause même défendue
par l'éminent orientaliste anglais, n'avait que des elotes
pour ses qualités de chercheur, sa vaste érudition et son
dévouement désintéressé pour les études ottomanes. Nous
retrouvons, au même degré, tous ces mérites dans les trois
volumes publiés, depuis la mort du regretté savant, par
M. Browne, professeur à l'Université de Cambridge, qui, ami
personnel de M. Gibb et l'un des plus remarquables érudits
de l'Angleterre, était mieux qualifié que personne pour assu-
mer cette tâche. 11 a, au commencement du tome II, donné la
biographie de M. Gibb, ainsi qu'une notice sur sa riche biblio-
thèque, ses publications et une collection de 3** 5 manuscrits
arabes, persans et turcs léguée par lui au British Museum.
Ce deuxième volume, consacré à la période qui va de
i^5o à 1600, s'ouvre par une préface dans laquelle l'auteur
répond aux critiques soulevées par l'apparition du premier
volume, et en particulier au manque d'originalité reproché
à la poésie ottomane. Sans doute les poésies musulmanes
noii arabes (persane, turque, hindoustanie, etc.) présentent
de très grandes analogies; toutefois la poésie ottomane re-
flète bien le génie turc, malgré ses emprunts. Ce n'est pas
non plus par préoccupation littéraire que Tailleur a employé
dans ses traductions des mots et des formes archaïques;
c'était pour donner une idée fidèle des originaux, parfois
bien difficiles à rendre.
Cette période de i4.r)0 à 1600 se fait remarquer par son
caractère médiéval. Rien, en Turquie, ne rappelle alors la
Renaissance du monde chrétien d'Occident. Les poètes de
cette époque diffèrent peu de leurs devanciers; toutefois on
remarque que les dialectes perdent de plus en plus leur im-
portance. Les Ottomans ont prévalu sur les Turcs. Une imi-
tation constante des Persans; une grande subjectivité; un
mélange de sensualité, de mysticisme et surtout un carac-
tère nettement artificiel, tels sont les traits distinctifc de la
poésie d'alors, dont les plus célèbres représentants sont les
NOUVELLES ET MÉLANGES. 573
sultans Mahomet il et Sélim, Ahmed Pacha, le prince Djem,
Nedjalì, Hamdi, Mesihi, Djafar Tchelebi, Kemàl Pacha
Zàde, ainsi que les poetesses Mihri et Zeineb.
Le troisième volume va de l'ère de Suléimân (i52o) à
la mort de Nabi (171a) : avec celle-ci la période classique
se termine pour faire place à une ère de transition. Des
deux livres (III et IV) qui composent ce volume, l'un est
consacré à l'âge de Suleimàn, à Zàti, Khayàli, Fuzoûli, Aboù
Souoùd, Yahya Bey, ainsi qu'à Baki et qu'aux poètes de
second ordre qui marquent le milieu de 1ère classique, et
l'autre à la fin de celle-ci. M. Browne a fait suivre ces deux
livres de deux appendices contenant les analyses et le début
des textes de huit poèmes de Làmi'i (Salomon et Absalon,
Vàmik et Ezrà, Vis et Kamin, etc.), de Yahya Bey (Le roi
ei le mendiant), et de Baki (Rhaïràbàd).
Le tome IV ( V* livre), récemment paru, est précède d'une
préface de M. Browne. L'ancien régime» déclare-t-il, est fini,
nous entrons dans les temps moderiel, et les modèles per:
sans ont cédé la place aux modèles trancáis. Cette trans-
formation est de date récente et résulté des efforts de
Chinasi Efendi, Ziyà Pacha, Abdul-Hakk Hàmid Bey,
Ahmed Midhat Elendi, Ahmed Vefik Pacha, Ebouz-Ziyà
Tevfik Bey. M. Gibb n'avait pu achever que trois cha-
pitres de ce grand ouvrage (l'Aube d'une nouvelle ère;
Chinasi Efendi, 1826-1871; Ziyà Pacha, i83o-i88o).
L'éditeur a pu compléter ce volume grâce à de nom-
breuses notes "constituant l'esquisse d'une histoire com-
plète de la poésie ottomane, notes que M. Gibb avait recueillies
pour un ami et que celui-ci a obligeamment communiquées
à M. Browne. Le présent volume comprend la période de
transition qui commence avec Ahmed Ili et à laquelle appar-
tiennent les derniers adeptes de l'école persane, ainsi que la
plus grande partie de l'école romantique, depuis Seyyid
Vehbi, Ì lach met et Fitnet Khànoum jusqu'à Vâsif, Ledà Khà-
noum, Arif Hikinet, Akif Pacha et Pertev Pacha, en pas-
sant par F"âzil Bey et Sunbulzâdè. Les trois chapitres dont
574 NOVEMBRE-DECEMBRE 1905.
nous avons parlé plus haut formeront le tome cinquième;
le sixième et dernier comprendra les textes des poésies ana-
lysées dans le reste de l'ouvrage et constituera, de la sorte,
une véritable anthologie.
Une fois la publication achevée, la collectionnes manu-
scrits orientaux: provenant de l'auteur sera, par les soins de
M. Browne, remise au British Museum. Une importante col-
lection de livres imprimés relatifs à la Turquie a été donnée
par M"" Jane Gibb, mère de Fauteur, à l'ambassade anglaise
de Constantinople et à l'Université de Cambridge. M"*Gibb,
décédée à la fin de 1904« a voulu, en outre, honorer ia
mémoire de son fils par une fondation dite Gibb Mémorial
Fund quiy disposant d'un revenu annuel de plus de a00 livres,
éditera des traductions d'ouvrages arabes, persans et turcs
dont le choix sera arrête par un comité dont font partie les
orientalistes les plus éminents de l'Angleterre : MM. Ame-
dei, A. G. Ellis, Guy Le Strange, R. A. Nicholson,
D* E. Denison Ross, E. G. Browne, Julius Bertram. Deux
importants ouvrages, sur lesquels nous aurons l'occasion de
revenir, ont été publiés aux frais de cette fondation : Ijcs
Mémoires de Báber, texte djagataï reproduit en fac-similé par
les soins de M"" Beveridge, et l'Histoire du Tabaristan dlbn
Isfemliar, traduite par M. Browne.
Li ci es Bou v AT.
Des termes dans lesquels a été formulée une note insérée
dans le précédent cahier çlu Journal asiatique (ci-dessus,
p. 384), il semblerait ressortir que j'ai dirigé conti e
M*r Rahmani « des imputations inexactes ». Je tiens à déclarer
queje n'ai eu d'autre intention que d'allirmer un fait d'une
exactitude incontestable, à savoir que l'engagement pris au
sujet de la publication de la Chronique de Michelle-Syrien
n'a pas été mis à exécution (Cf. Joum. as., janv.-févr. 189/1;
IX" Série, t. Ill, p. i35).
J.-B. Chahot.
. V
TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE TOME VI, X" SÉRIE.
MÉMOIRES ET TRADUCTIONS.
Page».
Les noms arabes dans Sérapion, «Liber de simplici medi-
cina». Essai de restitution et d'identification des noms
arabes de médicaments- usités au moyen âge [Fin]
(P' Pierre Guigues) *9
Un nouvel apocryphe copte. — Le livre de Jacques (M. E. Re-
villout) li*
Pseudo-Sebêos, texte arménien traduit et annoté (M. F. Ma-
cler) •' 12 »
Narsai le docteur et les origines de l'Ecofc de Nisibe, d'après
la Chronique de Barhadbesabba (M. J.-B. Chabot) . i57
Observations critiques sur un article du P. Pourrière inti-
tulé : « Étude sur le langage vulgaire d'Alep» (M. Barthé-
lémy) ••••'• »79
Un chapitre d'astrologie orabico-malgache (G. Ferrand). .. ig3
Le papyrus moral de Leide [Suite] (E. Revillout) 270
Manuscrits berbères du Maroc (Said Boulifa) 333
Physique védique (V. Hemy) • 385
Conte en dialecte marocain, publié, traduit et annoté
(G. Marcha>d) • • • 4» »
Nouvelle étude juridico-économique sur les inscriptions d'Am-
ten et les origines du droit égyptien (E. Reviiaoct) 473
Ibn AÎ-'Assâl. Les trois écrivains de ce nom (A. Malhî»)... 509
NOUVELLES ET MÉLANGES.
Procès-verbal de la séance du i5 juin igo5 5
Rapport de la Commission des censeurs sur les comptes de
l'exercice igo4, lu dans la séance générale du 15 juin 1 oo5. 8
Rapport de M. Specht, au nom de la Commission des fonds,
et comptes de l'année 1904 : 9
Ouvrages offerts à la Société *a
Tableau du Conseil d'administration conformément aux
nominations faites dans l'assemblée générale dui ojuin 1 go5. 13
576 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1905.
Liste des membres souscripteurs par ordre alphabétique... 17
Liste des Sociétés savantes et des,Revues avec lesquelles ia
_ Société asiatique échange ses publications.. . 4«
Listé des ouvrages publiés par la Société asiatique — Au-
teurs orientaux /j 5
Bibliographie (juillet-août). .T^ 187
Homenaje á D. Francisco Codera en su jubilación del profe-
sorado (M. L. Boutât).
Une nouvelle inscription nabatéenne de Bostra (Clkrmo\t-
Gasneau). . 3G.i
Bibliographie (septembre-octobre) 367
Le Mahábhárata (A. B.viith). — «Patrologia orictitaüs» de
H. Graffin et F. Nau ( F. Nau.). — L'Inde contemporaine et le
mouvement national, par E. Piriou (C* dk Chaiu icf.ï). — Not»-*
de bibliographie éthiopienne (A. Guérmot). — Les arts et in-
dustries d'ornementation en Tunisie. Situation en igoS, par
Ch.-Rcné Ledere (Ar*. Çomplard). — Recueil d'archéologie
orientale, sommaire du tome VII, livr. 1-7.
Procès-verbal de la séance du 10 novembre-1900 . . 531
Ouvrages offerts à la Société 537
Procès-verbal de\la séance du 8 décembre igo5 5^7
Ouvrages offerts à la Société 548
Annexe au procès-Verbal de la séance du 8 décembre igo5 :
Un document de comptabilité de l'époque d'O.uroukagina,
roi de Lagach ( M. Allotte de La Fuye) T.. .. 551
Bibliographie (novembre-décembre) 558
Catalogue des manuscrits syriaques et arabes conservés dans
la bibliothèque episcopale de Séert, par Mr Addai Scher (M. J.-
B. Chabot). — Les sources inédites de l'histoire du Maroc de
i53o à i8i5, par le C* Henry de Castries (M. Gacoefi\oy-
EfeuouBYKRs). — L«s ruines dAni (Souvenir d'Ani) [M. l.u-
cien Bouvat]. — Un journal arabe à Buenos-Ayrcs (M. Lucien
Bouvat). — Friedrich Vodcl : Die konsonantischen Varianten
in den doppelt überlieferten poetischen Stücken des Maso-
rclischrn Textes (M. L.). — A History of the Ottoman Poetry,
by E. J. W. Gibb (M. Lucien Bouvat).
Le gérant :
Rubens Duval
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